Il n’est jamais trop tard pour se reprendre et aucune porte n’est fermée aux hommes (et aux femmes également) de bonne volonté.
C’est ainsi que d’anciens détenus — encore jeunes —, sous l’impulsion d’un bénévole passionné, ont pu obtenir des diplômes de moniteurs sportifs qui leur permettront de voir l’avenir en rose et de ne plus céder à la tentation.
Espérons que leur exemple servira de modèle à d’autres pour prendre le train — même en marche — de la réinsertion.